vendredi 2 novembre 2012

Agriculture biologique

L’agriculture biologique est un secteur de l’agriculture européenne ayant bénéficié d’une croissance constante au cours des dernières années. Par le biais de ce site Internet, la Commission européenne fournit à tous les citoyens intéressés des informations sur la manière dont l’agriculture biologique contribue à protéger nos ressources naturelles, la biodiversité et le bien-être animal, et à soutenir ledéveloppement des zones rurales. Vous pouvez vous servir de ce site Internet comme point de départ pour découvrir tous les aspects de lapolitique de l’agriculture biologique de l’UE et télécharger des supports d’informationtel que des brochures et des dépliants. Les Dernières nouvelles et événements à venirsont énumérés dans une rubrique dédiée du site Internet. Nous vous invitons à consulter notre site Internet en espérant que vous y trouverez les informations que vous recherchez, que vous soyez un professionnel du secteur alimentaire, un agriculteur, un enseignant ou un consommateur intéressé.(1)

L’intervention de l’homme est une collaboration dans la combinaison des éléments de la nature. A la suite des excès de l’agriculture industrielle, de plus en plus de personnes souhaitent consommer des produits naturels qui respectent la santé et l’environnement.
Le ministère de l’agriculture a donc défini une norme avec un logo « AB » qui veut dire qu’un produit bio ne contient pas d’éléments chimiques de synthèse La tolérance de 5 % concerne des ingrédients comme le sel marin qui ne sont pas issus de l’agriculture biologique mais sont des produits naturels sans produit chimique de synthèse rajouté par l’homme.
Par extension et sympathie, le bio devient un système de valeurs respectueux de la nature, de la santé et socialement responsable. L’agriculture biologique est dite économe, autonome et non polluante. L’agriculture bio correspond en tout point aux critères de développement durable « sustainable development » que mettent au point des scientifiques et économistes.
 
Bibliographie :
Site 1 : Agriculture et dévellopement rural
Consultation : 02/11/2012
Site 2 : Intelligence verte
Consultation :
 
 

Agriculture intensive

L'agriculture intensive est caractérisée par l'utilisation massive d'intrants (produits, matériels). Elle repose sur une mécanisation poussée et l'usage d'engrais chimiques, de pesticides,fongicides, herbicides…afin de maximiser la production.
Ce mode de production assure un rendement des cultures important, ce qui permet de nourrir unepopulation mondiale toujours plus nombreuse ; mais il met en péril la biodiversité et la santé humaine, en étant responsable de la pollution des sols, des nappes phréatiques et cours d'eau souterrains.(1)
L'agriculture intensive demande de grandes quantités d'intrants tels que de l'eau, des engrais chimiques et des pesticides, afin de permettre un rendement maximal au moindre coût possible.
En Europe et aux Etats-Unis, la « révolution verte » d'après-guerre a vu les engrais remplacer les anciennes méthodes de travail de la terre, dans la mesure où les herbicides représentaient une alternative aux rotations des cultures pour limiter les mauvaises herbes.
L'agriculture industrielle, qui s'appuie sur la monoculture à grande échelle, a permis une augmentation substantielle des rendements et une chute des prix alimentaires, mettant fin à des siècles de famine et ouvrant la voie à un développement économique et social rapide.
Toutefois, avec de plus en plus de terres cultivées, il est maintenant reconnu que les gains en termes de production s'accompagnent d'impacts environnementaux négatifs, mettant en danger l'avenir de l'agriculture, car les méthodes agricoles intensives mettent à rude épreuve les ressources naturelles dont elles dépendent.
En effet, la liste des effets négatifs de l'agriculture intensive s'allonge : dégradation des sols, salinisation des zones irriguées, surexploitation et pollution des nappes phréatiques, résistance aux pesticides, diminution de la biodiversité, entre autres.
L'agriculture a également porté atteinte à l'environnement dans son ensemble, par la déforestation et l'émission de gaz à effet de serre ou d'autres polluants de l'air.(2)
 
 
Bibliographie:
Site1:Devellopement durable sur Vedura
Cosultation:02/11/12
Site 2 :ecologiquement durable
Consultation :02/11/12
 
 
 
 
 
 
 
 

L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées

L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.
De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

Agriculture et faim au monde

Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.

jeudi 20 septembre 2012

L’agriculture en question

Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.

Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».

Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.